NICOLAS CELORO est un pianiste concertiste virtuose, un musicien aussi raffiné que profond. Musicien international mais aussi compositeur, NICOLAS CELORO a parcouru les scènes d’une vingtaine de pays.
En récital, il aborde le vaste répertoire pianistique, depuis Bach, Mozart, Beethoven, jusqu’à Debussy, Rachmaninoff, Prokofieff, Albeniz ou De Falla, mais privilégie particulièrement la période romantique. Il joue souvent ses propres compositions fort appréciées du public. Celles-ci rejoignent la sensibilité contemporaine, tout en restant en filiation avec Debussy, Liszt, ou Moussorgski, dans un style poétique et lyrique.
Les compositions de Nicolas Celoro sont superbes et toutes remplies de lumière… Dans cette musique, il n’y a aucun stéréotype, aucun conformisme, tout y est vivant, frémissant et spontané.
De très nombreux récitals et répertoires sont donnés : œuvres de Chopin, Liszt, Rachmaninoff, Tchaïkovski, Bach, Liszt, Debussy, Beethoven, Schubert, Satie, Schumann, De Falla, Albeniz, Scriabine, Granados, Tarrega, Prokoviev, Grieg, Brahms, et ses propres compositions.
Ces concerts sont possibles non seulement en salles, mais aussi en extérieurs, avec projection sur grand écran, façades d’édifices, ou même sur écran de fumée artificielle
Des spectacles musicaux sont aussi donnés avec BRIGITTE FOSSEY, DANIEL MESGUICH, MARIE-CHRISTINE BARRAULT, … après avoir longtemps tourner avec MICHAEL LONSDALE.
Comme des « films musicaux » qui nous plongent dans l’intimité des vies de Chopin, de Liszt, de Beethoven, ou de Georges Sand & Chopin (dans leur relation amoureuse), au gré d’un récit évoquant toute l’aventure de leur existence, avec de nombreuses anecdotes, lettres originales, textes de leurs contemporains.
Ces « spectacles-concerts » ouvrent au grand public, bien au-delà des seuls passionnés de musique classique, toutes les beautés des chefs-d’œuvre pour piano et nous rendent en quelque sorte « contemporains » et « amis intimes » de ces grandes figures d’humanité.
NICOLAS CELORO est un pianiste et compositeur français d’ascendance napolitaine et andalouse. Il est aussi créateur de nombreux spectacles musicaux, qu’il donne avec des comédiens renommés.
Médaille d’Or du conservatoire de Versailles à l’âge de 14 ans, Prix d’excellence du concours de Radio France « Royaume de la Musique » à 16 ans, Prix du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris à 18 ans dans la classe d’Aldo Ciccolini, NICOLAS CELORO a étudié aussi avec Pierre Barbizet, et pendant quatre ans avec le grand pianiste hongrois György Cziffra. Ce dernier qualifiera NICOLAS CELORO de « virtuose étonnant allié à un musicien aussi raffiné que profond ».
Musicien international, NICOLAS CELORO a parcouru les scènes d’une vingtaine de pays (Allemagne, Angleterre, Autriche, Corée du Sud, Espagne, Etats-Unis, France, Hong-Kong, Hongrie, Italie, Ile Maurice, Japon, Philippines, Pologne, Russie, République Tchèque, Singapour, Suisse, Turquie), se produisant dans les salles les plus prestigieuses (Victoria-Hall de Genève, Théâtre Royal de Madrid, Théâtre de la Maestranza à Séville, Maison Internationale de la Musique à Moscou, Salles Philharmoniques de nombreuses villes russes telles que Vladimir, Koursk, Tomsk, Nijni-Novgorod, Ijevsk, Mourom, Ivanovo, Kovrov, Yaroslav, et bien sûr en France : Salle Gaveau et Palais de l’Unesco à Paris, Opéras et Scènes Nationales françaises …) suscitant toujours l’enthousiasme du public et de la presse :
« …En comparaison des figures inoubliables du piano, que nous avons écoutées depuis plus de 60 ans tant en versions discographiques qu’en direct, Nicolas Celoro joue avec les attributs techniques et artistiques que nous nous rappelons comme étant les meilleurs », – (Francisco Melguizo, critique musical du journal « El Correo », après un récital de Nicolas Celoro au Théâtre de la Maestranza à Séville).
En récital, il aborde le vaste répertoire pianistique, depuis Bach, Mozart, Beethoven, jusqu’à Debussy, Rachmaninoff, Prokofieff, Albeniz ou De Falla, mais privilégie particulièrement la période romantique, et joue souvent ses propres compositions. Celles-ci, fort appréciées du public, rejoignent la sensibilité contemporaine, tout en restant en filiation avec Debussy, Liszt, ou Moussorgski, dans un style poétique et lyrique.
« Les compositions de Nicolas Celoro sont superbes et toutes remplies de lumière… Cette musique semble dépasser le romantisme ou l’impressionnisme musical français du début du XXe siècle, pour nous conduire plus loin, vers une plus haute contemplation. Les changements d’émotions sont si subtilement exprimés dans la musique de Celoro, passant d’un sentiment de calme intime jusqu’à la joie la plus éblouissante, ou bien d’une intériorité si profonde jusqu’à la jubilation la plus sincère et la plus radieuse. Dans cette musique, il n’y a aucun stéréotype, aucun conformisme, tout y est vivant, frémissant et spontané.». (Elena Guvakova, historienne d’art, critique musical, directrice des Musées de culture musicale à Moscou)
« Nicolas Celoro nous est apparu non seulement comme un brillant interprète, mais aussi comme un compositeur de talent. C’est sans doute en connaissant et en aimant la musique de ses grands prédécesseurs, qu’il est devenu non seulement leur interprète mais aussi, pourrions-nous dire, le continuateur des traditions musicales de la fin du XIXe et du début de XXe siècle … Nicolas Celoro a conquis le public dès la première partie du récital, avec ses magnifiques préludes. … Après le concert, beaucoup évoquaient même un véritable bouleversement émotionnel ! » Elena Guvakova
Un peu comme des « films musicaux » qui nous plongent dans l’intimité des vies de Chopin, de Liszt, de Beethoven, ou de Georges Sand & Chopin (dans leur relation amoureuse), au gré d’un récit évoquant toute l’aventure de leur existence, avec de nombreuses anecdotes, lettres originales, textes de leurs contemporains, ces « spectacles-concerts » ouvrent au grand public, bien au-delà des seuls passionnés de musique classique, toutes les beautés des chefs-d’œuvre pour piano et nous rendent en quelque sorte « contemporains » et « amis intimes » de ces grandes figures d’humanité.
Récital avec des lectures lues de Marie-Christine Barrault, d’après le récit du poète Jehan Despert.
L’histoire du couple le plus emblématique du romantisme, raconté en musique ! Leurs premières rencontres à Paris, le voyage à Palma de Majorque, la vie à Nohant, en compagnie aussi de leurs nombreux amis, tels Liszt ou Delacroix … Ce spectacle nous offre un émouvant voyage musical, poétique et littéraire, retraçant l’amour tour à tour tendre, passionné, ou parfois orageux de ce couple d’artistes inoubliables.
Au programme :
2 versions sont possibles : une courte (45 min), Une autre plus longue (75 min)
Version longue :
Version courte :
En sortant du Conservatoire, en 1965, Marie-Christine Barrault entame une carrière au théâtre et à la télévision. Elle défend alors des textes de Max Frisch, Corneille, Sarraute, Claudel, Tchekhov, O’Neil, Marguerite Duras,…, sous la conduite de metteurs en scène exigeants, Gabriel Garran, Roger Planchon, Raymond Rouleau, Jacques Rosner…
Eric Rohmer lui offre son premier rôle au cinéma dans « Ma nuit chez Maud » et elle sera l’inoubliable interprète de « Cousin, Cousine » de Jean-Charles Tacchella qui lui permet d’être nommée pour l’Oscar de la Meilleure Actrice de l’année 1976.
Elle alterne alors le théâtre, le cinéma (Woody Allen, André Delvaux, Andrzej Wajda…) et la télévision (avec des réalisateurs comme Jean Lhôte, Claude Santelli, Michel Boisrond, Roger Vadim,…) où elle incarne des personnages forts, adaptés de la littérature et de la réalité, tels que Marie Curie ou Jenny Marx.
Elle a créé un spectacle de chansons, « L’Homme Rêvé », au Théâtre des Bouffes du Nord sur des textes de Roger Vadim et musiques de Jean Marie Senia.
Elle vient de publier un livre autobiographique, « Ce long Chemin pour arriver jusqu’à Toi », aux édition Xo.
Au théâtre, récemment, elle a joué « L’Allée du roi », monologue adapté du roman de Françoise Chandernagor. Elle est en tournée avec « Opening Night », après une série parisienne au Théâtre Mouffetard. Elle vient de jouer la pièce de Danièle Thompson « L’Amour, la Mort, les Fringues … » au théâtre Marigny.
Au cinéma, elle était la mère de Chiara Mastroianni dans le film de Christophe Honoré « Non ma fille, tu n’iras pas danser ». Elle a enregistré des disques de chansons, de textes, dont « Terre des Hommes » de Saint-Exupéry, et des contes musicaux comme « Pierre et le Loup » de Prokofiev. De fait, Marie-Christine Barrault aime de plus en plus travailler en compagnie de musiciens – de solistes (Pascal Contet, Jean-Patrice Brosse, Yves Henry, Nicolas Celoro…), d’orchestres de chambre (Quatuor Ludwig,…) sur des spectacles mêlant musique et texte. Reconnue aujourd’hui comme une des plus mélomanes des actrices françaises, elle est depuis 2007 présidente d’honneur des Fêtes romantiques de Nohant, festival qui se tient dans le Berry autour du souvenir de George Sand et de Chopin.
D’après le récit du poète Jehan Despert
Ce spectacle en hommage à Franz Liszt est un parcours musical et biographique, mettant en lumière la vie et la personnalité du compositeur hongrois ainsi que son œuvre immense, aussi bien profane que sacrée, ouvrant la voie à un héritage aujourd’hui encore présent.
L’émouvant récit de sa vie sentimentale, particulièrement déterminante dans son cheminement artistique, l’évocation de sa grande noblesse d’âme, du charme de son époque, et des nombreux voyages du musicien à travers toute l’Europe, offre au spectateur d’entendre les œuvres les plus belles et les plus significatives du répertoire lisztien, interprétées au piano par Nicolas Celoro.
Au programme (Durée : 1 heure 45 min):
Récital avec des lectures lues de Daniel Mesguich, d’après le récit du poète Jehan Despert
Par le récit de sa vie légendaire et par le choix musical de ses plus belles œuvres pour piano, Ludwig Van Beethoven nous devient intime : le sauvage héros au caractère indomptable blessé par l’épreuve de la surdité, l’amoureux épris d’idéal dont toutes les lettres dédiées à « l’immortelle bien-aimée » résonnent encore et nous émeuvent par leur sincérité, et surtout le créateur, l’un des plus grand compositeur de tous les temps, sans cesse tendu vers une œuvre de délivrance et de lumière, dont l’abondance et la puissance étonnent toutes les générations qui lui ont succédé… jusqu’à nous, aujourd’hui !
Au programme :
Après le Conservatoire de Marseille, deux années d’études en philosophie et le Conservatoire National Supérieur d’art dramatique de Paris, Daniel Mesguich crée sa compagnie : le Théâtre du Miroir, et ouvre un cours d’art dramatique.
Comédien dans des pièces classiques et acteur d’une quarantaine de films pour le cinéma et la télévision, signés notamment par Michel Deville (Dossier 51), Costa-Gavras (Clair de femmes), François Truffaut (L’amour en fuite), Ariane Mouchkine (Molière), Francis Girod (La Banquière), Alain Robbe-Grillet (La Belle Captive), James Ivory (Quartet, Jefferson à Paris, Le Divorce), Bernard Rapp (Tiré à part)… il compte aussi à son actif plus d’une centaine de mises en scène pour le théâtre et l’opéra, en France et à l’étranger.
Professeur puis directeur au Conservatoire National Supérieur d’art dramatique de Paris, il a aussi dirigé le théâtre Gérard Philipe à Saint-Denis et le théâtre national de Lille « La Métaphore ». Il aime se produire comme récitant, aux côtés de personnalités musicales marquantes. Il a aussi écrit de nombreux articles théoriques sur le théâtre et traduit des pièces de théâtre. Il est l’auteur notamment d’un essai, L’éternel éphémère.
Ce spectacle nous présente un choix de textes de
joués par Brigitte Fossey, en alternance avec des moments musicaux, célèbres ou inédits, donnés par le pianiste et compositeur Nicolas Celoro, qui interprète :
Ainsi, c’est tout l’art littéraire poétique et humoristique, servi idéalement par la parole vive et enjouée de Brigitte Fossey, qui fusionne avec le langage universel de la musique, depuis les plus inoubliables pages du répertoire pianistique, jusqu’aux étonnantes compositions de Nicolas Celoro.
Durée du spectacle : elle est variable entre 45 minutes (version courte), et jusqu’à 1h30 (version longue).
La carrière de Brigitte Fossey débute alors qu’elle n’a que cinq ans, avec le rôle de Paulette dans le film « Jeux interdits » réalisé par René Clément. Le succès est tel qu’elle est même présentée à la reine Élisabeth II d’Angleterre. Tenue éloignée des plateaux par ses parents, elle est cependant rappelée par la « profession » et continue en 1967 dans Le Grand Meaulnes. Avec ses rôles dans les années 1970 (L’Ironie du sort, La Brigade, Les Valseuses, Calmos, Les Fleurs du miel, Le Pays bleu, L’Homme qui aimait les femmes), elle fut l’une des grandes vedettes de sa génération.
En 1980, elle connaît un grand succès dans le rôle de la douce mère de Sophie Marceau dans La Boum. Ce film est suivi par La Boum 2 en 1982. Brigitte Fossey devient ensuite un visage familier du petit écran. Après une première expérience remarquée dans la série « Les Gens de Mogador », elle est l’un des visages emblématiques de la saga estivale « Le Château des oliviers » pour lequel elle obtint le 7 d’or de la meilleure actrice en 1994. Elle participe par la suite à plusieurs téléfilms comme « Un et un font six », de 1997 à 2000, ou « Le Mystère Joséphine » en 2009.
Brigitte Fossey monte également souvent sur les planches, par exemple sous la direction de Patrice Leconte dans « Grosse Chaleur » (2004) ou plus récemment pour donner des lectures (en 2012, la comédienne a lu des lettres de George Sand). Brigitte Fossey soutient les actions d’ATD Quart Monde contre la pauvreté. Elle a notamment participé à la réalisation d’un disque, «Paroles pour demain ».
Spectacle écrit par Nicolas Celoro
Du pianiste légendaire, Tzigane de génie… jusqu’au Franciscain, portant soutane : une vie racontée en musique . « Franz Liszt, Tzigane ou Franciscain? » est un spectacle musical écrit par Nicolas Celoro, retraçant l’histoire du musicien hongrois, à partir, entre autre, des nombreux récits et témoignages de Franz Liszt lui-même.
Enfant prodige, virtuose légendaire du piano, compositeur génial, adulé comme peu d’autres à son époque, galant homme d’une rare noblesse d’âme et au cœur immensément généreux, Franz Liszt fut aussi guidé intérieurement tout au long de sa vie par une aspiration, un appel mystérieux, qui l’incitera à quitter toutes les séductions du monde, et le conduira à « entrer dans les ordres » , portant soutane d’Abbé.
Cette aventure intérieure d’une grande richesse sera le fil conducteur de ce concert, nous faisant découvrir par le récit, toute la vie du compositeur, et par les œuvres musicales interprétées, les multiples facettes du répertoire lisztien : pièces de haute virtuosité, œuvres exprimant le plus tendre romantisme, ou bien encore la religiosité ou le mysticisme… Au programme : …
Au programme (Durée du spectacle : 1 heure 30 min) :
Dans le cadre d’églises, abbayes ou cathédrales, plusieurs autres concerts-lectures sont possibles avec des textes bibliques ou des écrits de grands auteurs spirituels, notamment :
Un concert sur Noël intitulé « Lumière de Noël »
Un concert avec des Psaumes, et des œuvres de Jean-Sébastien Bach
Un concert-témoignage chrétien intitulé « Comme des brebis au milieu des loups »
VIDÉOS – NICOLAS CELORO JOUE LES GRANDS COMPOSITEURS
Nicolas CELORO (extraits de concert au Festival “Piano Folies” 2019) – 00:00 – « la danse du feu » de Manuel De FALLA (TRANSCRIPTION de NICOLAS CELORO) – 03:56 – feuillet d’album opus 45 de Alexandre SCRIABINE – 05:32 – Scène d’enfant n°13 « le poète parle » de Robert SCHUMANN – 07:53 – 2ème Scherzo en si bémol mineur de Frédéric CHOPIN
NICOLAS CELORO joue Chopin, Celoro, Rachmaninoff, Liszt en récital
Nicolas Celoro joue Franz Liszt : Sonate en si mineur / Николя Челорo играет ЛИСТ : соната
Nicolas Celoro joue Chopin : 24 Préludes Opus 28 / Николя Челорo играет Шопен : 24 Прелюдии
Nicolas Celoro joue Chopin à la Salle Gaveau
Nicolas Celoro joue Sospiro de Franz Liszt
Nicolas Celoro joue Vallée d Obermann de Franz Liszt
Nicolas Celoro joue Saint François de Paule de Franz Liszt
Nicolas Celoro joue “Consolation n°3” de Franz Liszt
Nicolas Celoro joue “les Cloches de Genève” de Franz Liszt
Nicolas Celoro joue 2° Scherzo de Chopin / Николя Челорo играет Шопен : Скерцо No. 2, си-бемоль
Nicolas Celoro joue 6° Rhapsodie Hongroise de Franz Liszt/ Николя Челорo играет ЛИСТ рапсодия 6
Nicolas Celoro joue 2° Rhapsodie de Franz Liszt (avec une cadence composée par Nicolas Celoro)
Nicolas Celoro joue “Rêve d’Amour” de Liszt
Nicolas Celoro joue LISZT “Campanella” à l’Opéra de Massy
LISZT par Nicolas Celoro au Victoria Hall de Genève/ rhapsodie 6 et autres…
Chopin 3° ballade : Nicolas Celoro piano Salle Gaveau
Nicolas Celoro piano au Victoria HALL de Genève
Nicolas Celoro piano: Liszt 6eme Rhapsodie concert à l’Opéra de Massy
VIDÉOS – NICOLAS CELORO JOUE CELORO
Nicolas Celoro joue ses compositions avec projections d’images
Nicolas Celoro joue Celoro: Moment musical N°2 en do mineur, avec projection d’images
Nicolas Celoro joue Celoro : “Vertiges”, avec projection d’images
Nicolas Celoro joue Celoro: Prélude en Mi Majeur, avec projection d’images
Nicolas Celoro joue Celoro: Prélude en Fa # Majeur, avec projection d’images
Nicolas Celoro joue Celoro: Prélude en Do Majeur, avec projection d’images
Nicolas Celoro joue Celoro: Prélude en si mineur, avec projection d’images
Nicolas Celoro joue CELORO : Nocturne en la bémol, avec projection d’images
Nicolas Celoro joue Celoro : Moment musical n°1 en Do Majeur, avec projection d’images
NICOLAS CELORO : Prélude en Fa # Majeur
Nicolas CELORO prélude en mi majeur
Nicolas Celoro joue Celoro – Maison de la Musique à Moscou (Russie)
Nicolas Celoro joue Celoro Liszt Chopin à Moscou (Maison de la Musique)
VIDÉOS – SPECTACLE MUSICAUX AVEC : Nicolas Celoro, Brigitte Fossey, Daniel Mesguich, Michael Lonsdale
Nicolas Celoro & Brigitte Fossey – Nouveau spectacle “Humour et Musique en folie !”
00:03:40 – « Pour faire le portrait d’un oiseau », poème de Jaques Prévert
00:06:03 – Prélude en fa # Majeur, de Nicolas CELORO
00:08:49 – « Le lièvre et la tortue », de Jean de La Fontaine
00:10:54 – Prélude n°10 en ut # mineur de Frédéric CHOPIN
00:11:34 – « La cigale et la fourmi », de Jean de La Fontaine
00:12:50 – extrait « el Albaïcin » (début) de Isaac ALBENIZ
00:14:09 – « Le mari, la femme et le voleur », de Jean de La Fontaine
00:16:27 – « la danse du feu » de Manuel De FALLA (transcription de N. Celoro)
00:20:44 – « Je voyage bien peu… » , de Jean Cocteau
00:21:53 – Gymnopédie n°1 de Erik SATIE
00:23:12 – « Le menteur » , de Jean Cocteau
00:26:37 – Gnossienne n°1 de Erik SATIE
00:29:41 – « Le dromadaire » de Guillaume Apollinaire
00:29:59 – « Il faut passer le temps » de Jacques Prévert
00:32:08 – « Arabesque » de Claude DEBUSSY
00:35:41 – « La pêche à la baleine », de Jacques Prévert
00:39:23 – interlude en la bémol de Nicolas CELORO
00:40:51 – « Pour toi mon amour » , de Jacques Prévert
00:41:31 – feuillet d’album opus 45 de Alexandre SCRIABINE
00:43:15 – « L’homme qui n’y comprend rien », de Jean Tardieu
00:45:09 – interlude en si bémol de Nicolas CELORO
00:46:23 – « Intervention », de Henri Michaux
00:48;15 – « Emportez-moi », de Henri Michaux
00:48:59 – Prélude en La mineur (suite « pour le piano ») de Claude DEBUSSY
00:52:59 – « L’accent grave », de Jacques Prévert
00:54:19 – Scène d’enfant n°13 « le poète parle » de Robert SCHUMANN
00:57:11 – « La fourmi », de Robert Desnos
00:57:53 – « La promenade de Picasso » de Jacques Prévert
01:00:57 – 2ème Scherzo en si bémol mineur de Frédéric CHOPIN
01:15:35 – « Plus ne suis ce que j’ai été… » de Clément Marot
01:16:07 – Prélude en do Majeur, de Nicolas CELORO
NICOLAS CELORO & BRIGITTE FOSSEY – Spectacle HUMOUR POÉSIE MUSIQUE
Nicolas Celoro & Brigitte Fossey – Nouveau spectacle (création “Piano Folies”)
Nicolas CELORO & Brigitte FOSSEY Jacques Prévert , poésie
Nicolas Celoro joue Beethoven, Spectacle avec Daniel Mesguich
Nicolas CELORO & Michael LONSDALE – Spectacle “TIBHIRINE”
Début du Spectacle “Paroles d’amour à Tibhirine” Nicolas Celoro / Michael Lonsdale
Tu nous manques…
« Nicolas Celoro est un virtuose accompli, et un pianiste d’une modernité étonnante, allié à un créateur. C’est un maître de Chopin et de tous les romantiques, mais aussi un compositeur de premier ordre : on aimerait que ses « Vertiges » soient sans fin. C’était une soirée inoubliable. » (Suite à un concert au Festival d’automne de Saint Tropez).
« Rien de standardisé chez ce jeune pianiste dont la sonorité chaude, ronde, puissante, captive l’auditoire. Dès les premières notes, le public entre en osmose avec l’artiste : Nicolas Celoro et son piano ne font qu’un, et font résonner magistralement cette grande salle à l’acoustique exceptionnelle. » (suite au concert au Victoria Hall de Genève). La Tribune de Genève
« Dans cette exécution des 24 préludes de Chopin, Nicolas Celoro a démontré une remarquable maturité touchant, à certains instants, à la plus haute expressivité. » (concert au Théâtre de Reggio Emilia – Italie) Gazetta di Reggio
Nicolas Celoro, grâce à sa technique irréprochable, nous a servi un Liszt romantique, tourbillonnant, grondant, étincelant. Avec ses cadences à couper le souffle, son doigté d’une précision d’orfèvre, ses crescendos et ses amortis venus du fond de l’âme (…) ». La Dépêche du midi
“Nicolas Celoro est un musicien de premier plan. Il est un compositeur exceptionnel. Sa nature romantique l’attire constamment en Russie où, curieusement, il aime spécialement se produire dans les régions chargées d’histoire, comme Vladimir et Suzdal, mais aussi dans tant d’autres villes russes. Il séduit le public par sa spontanéité, sa capacité à communiquer avec les auditeurs avec une émotion très intense … Nicolas a très tôt commencé à composer de la musique et, en tant que compositeur, il crée quelque chose d’étonnamment beau ». Radio Orphée, Moscou
« Un artiste magnifique, qui sert les pièces de Liszt avec une virtuosité qui éclabousse la scène. Nicolas Celoro a eu les plus grands maîtres, Cicolini, Barbizet, Cziffra…Il a retenu le meilleur chez eux, il y a ajouté sa personnalité, sa sensibilité propre, son raffinement. Le mélange a généré un talent exceptionnel. » ( Festival «Liszt en Provence») La Provence
« … la Deuxième Rhapsodie hongroise de Liszt fut un éblouissement total, une réalisation que le maître Cziffra lui-même eut considéré comme exceptionnelle.» (Concert d’hommage à Cziffra, à La Chaise-Dieu) Centre-France
« La fraîcheur d’esprit et les contrastes dans les dynamiques ont transformé ce cheval de bataille qu’est la Polonaise en la bémol de Chopin en quelque chose de si excitant que j’ai presque eu l’impression de l’entendre pour la première fois ». (concert au Santiago Hall de Manille – Philippines) Philippines Star
« Les œuvres composées par Nicolas Celoro et jouées en résonance avec les textes lus par cet immense comédien, ont captivé le public par leur beauté » – (« Festival Patrimoine en Domitienne ») Midi Libre
« Un concert profond et émouvant, un de ces moments de communion magique qui change le regard du public sur la musique et sur la vie en général». ( Festival « Piano en Valois » Concert à la Scène Nationale d’Angoulême) Jean-Luc ALLARD
«… En comparaison des figures inoubliables du piano, (…) Nicolas Celoro joue avec les attributs techniques et artistiques que nous nous rappelons comme les meilleurs » (Récital au Théâtre de la Maestranza, Séville) El Correo de Andalucia
« Un récital de piano romantique d’une rare qualité ( …) Les grandes envolées lyriques, les notes en cascade, les soudaines accalmies qui traduisent les frémissements de l’âme ou les intermittences du cœur, en un mot tout le romantisme de Liszt, au sens noble et viril…» La République du Centre
« … Nicolas Celoro exprime toute la force émotionnelle que chacune des pièces de Liszt lui inspire. Son jeu se fait alors virtuose, expressif, tendre ou passionné … » La Tribune de Genève
« La musique de Liszt requiert parfois une part d’audace, un don de funambule de haute voltige, toutes qualités que Nicolas Celoro a magistralement déployées, notamment dans une « Campanella » cristalline à souhait, ou encore dans la deuxième rhapsodie hongroise, avec une cadence étourdissante, écrite par Celoro lui-même » (concert au Victoria Hall de Genève)
VICTORIA HALL de Genève (SUISSE) / SALLE CORTOT (PARIS) / OPÉRA DE MASSY SCENE NATIONALE / THÉÂTRE DE PLESSIS-PATÉ (91) FRANCE / THÉÂTRE D’EPALINGES (SUISSE) / THÉÂTRE DE SAINT JEAN LE BLANC – ORLÉANS (FRANCE) / SALLE DES AUGUSTINS À HAZEBROUCK (FRANCE) / PHILHARMONIE DE SMOLENSK (RUSSIE) / PHILHARMONIE DE BRIANSK (RUSSIE) / MONASTÈRE DE VALAAM (RUSSIE) / THÉÂTRE DRAMATIQUE DE VLADIMIR (RUSSIE) / PHILHARMONIE DE MOURMANSK (RUSSIE) / SALLE D’ORGUE – NABEREZHNYE CHELNY (RUSSIE) / MAISON DE LA CULTURE « YASNAYA POLYANA » / MUSEE DE LEON TOLSTOÏ (RUSSIE) / CHAPELLE SAINT LOUIS, ORANGE (FRANCE) / À L’ÉGLISE DE COLLONGES-AU-MONT-D’OR (69) FRANCE / FESTIVAL « LES PASSEURS DE MOTS » À HESDIN-MARCONELLE (62) / ÉGLISE DE VERMELLE (38) FRANCE / PALAIS DE L’OPÉRA DU MUSÉE « TSARITSYNO » À MOSCOU (RUSSIE) / CHÂTEAU DE SENONCHES (28) FRANCE / THÉÂTRE ANTIQUE DE KHERSONES EN CRIMÉE (RUSSIE) / PLACE DES FONTAINES AU MUSÉE DE KHERSONES EN CRIMÉE (RUSSIE) / PALAIS DE LIVADIA EN CRIMÉE (RUSSIE) / PALAIS DE LA CULTURE À FÉODOSSIA EN CRIMÉE (RUSSIE) / ÉGLISE NOTRE-DAME DU CAP LIHOU À GRANVILLE FRANCE / FESTIVAL « PIANO FOLIES », LE TOUQUET (FRANCE) / ABBAYE DE TALLOIRES (74) (FRANCE) / THÉÂTRE « LE BOLÉRO » À VERSOIX GENÈVE (SUISSE) / ТЕАТР » АТРИУМ « В ГОРОДЕ СЕН-АВЕРТИН (ФРАНЦИЯ) / CONCERT PRIVÉ AU CENTRE CULTUREL « ANNE DE KIEV » À SENLIS (FRANCE) / THÉÂTRE « CLAUDE DEBUSSY » À JOIGNY (FRANCE) / BIBLIOTHÈQUE-MUSÉE A.P. BOGOLYUBOV, À MOSCOU (RUSSIE) / PHILHARMONIE DE LIPETZK (RUSSIE) / AUDITORIUM DE L’UNIVERSITÉ DES BEAUX-ARTS, À VLADIMIR (RUSSIE) / THÉÂTRE DE SARAN (ORLÉANS) / SALLE « CLAUDE NOUGARO » D’ANIMATIS, À ISSOIRE / À L’INSTITUT FRANÇAIS DE TBILISSI, (GÉORGIE) / À L’AUDITORIUM DU CONSERVATOIRE DE BATUMI, (GÉORGIE) / AU CHÂTEAU DE ZUGDIDI, (GÉORGIE) / THÉÂTRE DE PAYERNE « HAMEAU Z’ARTS » (SUISSE) / « MAISON INTERNATIONALE DE LA MUSIQUE » À MOSCOU (RUSSIE / FESTIVAL TCHAÏKOVSKI À LA PHILHARMONIE D’IJHEVSK (RUSSIE) / FESTIVAL TCHAÏKOVSKI AU MUSÉE TCHAIKOVSKI DE VODKINSK / À LA PHILHARMONIE DE TOMSK (RUSSIE) / AU PALAIS DE CRISTAL À GUS-KHRUSTALNY (RUSSIE) / AU KREMLIN DE SOUZDAL (RUSSIE) / SALON DU NAVIRE «AMIRAL KUZNETSOV» – MONASTÈRE DE VALAAM (RUSSIE) / AUDITORIUM DE DIVEYEVO (RUSSIE) / FESTIVAL « PIANO EN TRIÈVE » (FRANCE) / FESTIVAL DE L’ABBAYE DE VALMAGNE (FRANCE) / FESTIVAL À L’ABBAYE SAINT GILDAS DE RHUYS (FRANCE) / FORUM « TAVRIDA », À STEREHUSCHE, EN CRIMÉE (RUSSIE) / ÉGLISE DE PONTORSON (FRANCE) / ÉGLISE ST PIERRE D’AVON -FONTAINEBLEAU (FRANCE) / ÉGLISE DE ST-LAURENT-DE-MURE (69) – (FRANCE) / PHILHARMONIE DE KOURSK (RUSSIE) « SOIRÉE STEINWAY » / GRANDE SALLE DE CONCERT DU CONSERVATOIRE DE SARATOV / ESPACE CULTUREL À EYMET (BERGERAC – FRANCE) / SALLE « LA TUILERIE » À BÉDARIEUX – LE GRAND ORB (FRANCE) / GRAND THÉÂTRE DRAMATIQUE DE VLADIMIR (RUSSIE) / GRAND AUDITORIUM GTK DE SOUZDAL / CONCERT À L’EGLISE DE BASSENS (PRÈS DE BORDEAUX) / CENTRE CULTUREL DE RUEIL-MALMAISON (92) / EGLISE SAINT GERMAIN DES PRÈS À PARIS / THÉÂTRE DE GISORS (27) / EGLISE SAINT ETIENNE, À LE BLANC, (INDRE) / PALAIS GORTCHAKOFF – GRAND SALON BLANC, À SAINT PETERSBOURG / (EN RÉPUBLIQUE TCHÈQUE) : AUDITORIUM DU CENTRE CULTUREL RUSSE À PRAGUES / THÉÂTRE DE ROANNE / SALLE DE CONCERT DU MUSÉE PROKOVIEV À MOSCOU / CHÂTEAU DE MAUBEC (VAUCLUSE) / (EN ALLEMAGNE) : CLOÎTRE DES AUGUSTIN À ERFURT / (EN ALLEMAGNE) : À L’EGLISE DE DORNHEIM PRÈS D’ERFURT / ABBAYE DE VALMAGNE « FESTIVAL DE THAU » (PRÈS DE SÈTE) / EGLISE SAINT MICHEL À SOLLIÈS-VILLE (VAR) / THÉÂTRE «CHRISTIAN GENEVARD » À MORTEAU (FRANCHE-COMTÉ) / UNIVERSITÉ LINGUISTIQUE DE MOSCOU / UNIVERSITÉ ORTHODOXE DE MOSCOU / PALAIS INTERNATIONAL DE LA MUSIQUE À MOSCOU / PALAIS DE LA CULTURE À KAVROV / AUDITORIUM « IVAN LEVIATAN » DE LA VILLE DE PLIOS / PALAIS DE LA CULTURE DE LA VILLE DE KAROLIOV / PHILHARMONIE DE LA VILLE DE NIJNI-NOVGOROD / « NEVSKI PROSPECT KONZERT HALL » À SAINT PETERSBOURG / CATHÉDRALE ST PIERRE ST PAUL/ CENTRE CULTUREL GERMANO-RUSSE À SAINT PETERSBOURG / (EN SUISSE) : « GSTAAD NEW YEAR FESTIVAL» À GSTAAD / EGLISE ST LUC DE STE FOY LES LYON / FESTIVAL «LES ESCALES MUSICALES DU GALION» / ABBAYE PORT-DU-SALUT D’ENTRAMMES / THÉÂTRE « HAMEAU-Z’ARTS » À PAYERNE EN SUISSE / THÉÂTRE DE BIGANOS / ABBAYE DE BUZY-LA-FORÊT / PALAIS DES ARTS DE VANNES / THÉÂTRE « LA CIGALIÈRE » À SÉRIGNAN / EGLISE SAINT LUCIEN DE MONTMILLE À BEAUVAIS / PALAIS DE CHAMBÉRY / FESTIVAL DE L’ABBAYE DE VILLELONGUE / FESTIVAL « J’ARTS COM » MUSIQUE D’ÉTÉ EN BERRY / FESTIVAL « RENCONTRES MUSICALES DE SERRE-CHEVALIER » / CONCERT À L’EGLISE DE LA TRINITÉ À CHÂTEAU-GONTIER / BASILIQUE SAINTE ANNE D’AURAY / THÉÂTRE DE SAINT JEAN LE BLANC / THÉÂTRE DE LA « TOUR DES ARTS » LES HERBIERS / THÉÂTRE DE LANGRES (52) / SALLE DE L’ORATOIRE À LA ROCHELLE / EGLISE DE BOURG-DE-THIZY (69) / AUDITORIUM DU MUSÉE DE GRENOBLE / CHÂTEAU LOUIS XI À LA CÔTE-SAINT-ANDRÉ (38) / SALLE AGLAË MOYNE À PAMIERS / CATHÉDRALE DE LANGRES / CHÂTEAU DE GAUJAC / CHÂTEAU SAINT ESTÈVE AU FESTIVAL « LISZT EN PROVENCE » / FESTIVAL LYRIQUE DES PAYS CATALANS / FESTIVAL « CLEF DE SOLEIL » (LILLE) / CHÂTEAU SAINT JACQUES D’ALBAS « FESTIVAL MUSIQUE EN LINERVOIS » / CATHÉDRALE FEODOROWSKAYA / FESTIVAL « CLAVIERS EN POITOU » / EGLISE DES GRANDS CARMES DE NANTES / GRAND AMPHITHÉÂTRE DE MELUN « LA REINE BLANCHE » / EGLISE SAINT JACQUES LE MAJEUR (MOUGINS) / SCÈNE NATIONALE DE SÈTE / THÉÂTRE « L’ESPACE » FORGES-LES-EAUX / CHÂTEAU DE MAINTENON / FONDATION CZIFFRA CHAPELLE ROYALE ST FRAMBOURG (SUISSE) / THÉÂTRE DE L’ETOILE (13) / CATHÉDRALE DE BÉZIERS / ABBAYE SAINTE-ANNE DE KERGONAN / FESTIVAL « LES SOMMETS DU CLASSIQUE » À CRANS-MONTANA SUISSE / CATHÉDRALE DE BAZAS / FESTIVAL DE FÉNÉTRANGE GRAND AUDITORIUM DES SALINES ROYALES DE DIEUZE / “FESTIVAL « LES MUSICALES » À LA CHARTREUSE DE SAINTE CROIX EN JAREZ / “THÉÂTRE MUNICIPAL D’ERSTEIN (ALSACE) / THÉÂTRE MUNICIPAL « LE SILLON » SCÈNE CONVENTIONNÉE À CLERMONT L’HÉRAULT (34) / EGLISE NOTRE DAME DU TRAVAIL (PARIS, 14°) / EGLISE SAINT SULPICE (LES BRÉVIAIRES, 78) / THÉÂTRE SAINT LOUIS DE CHOLET (49) / THÉÂTRE D’ETAMPES / THÉÂTRE DE LA VILLE À VALENCE / PALAIS FESCH À AJACCIO / SALLE GAVEAU PARIS / CATHÉDRALE DE TULLE / VICTORIA HALL DE GENÈVE (SUISSE) / CHÂTEAU DE LOURMARIN (VAUCLUSE) / FESTIVAL « LES CONCERTS DE LA SAINT GERMAIN » / EGLISE NOTRE DAME, À CORRENS (VAR) / « CONCERT À L’ABBAYE SAINT MARTIN » DE LIGUGÉ / THÉÂTRE DE CLICHY, (« RUTEBEUF ») / GRAND AUDITORIUM DU COLLÈGE DES BERNARDINS / MAIRIE DU X° ARRONDISSEMENT / SALLE DE L’INSTITUT À ORLÉANS / SALLE ANDRÉ-MARCHAL À PARIS / THÉÂTRE DE BOULOGNE-BILLANCOURT « CARRÉ- BELLE FEUILLE » / THÉÂTRE DE LA VILLE « LES FRANSISCAINS » BÉZIERS / FESTIVAL « LE PRINTEMPS DANS LE 16ÈME » EGLISE RÉFORMÉE D’AUTEIL / « LES HEURES MUSICALES DE L’ABBAYE DE BOURGUEIL » (37) / « FESTIVAL DE VILLEVIEILLE-SALINELLES » – COUR D’HONNEUR DU CHÂTEAU – SOMMIÈRES (30) / « FESTIVAL DE LA DOMITIENNE »- EGLISE SAINT SATURNIN (34) / « FESTIVAL PIANO EN VALOIS »- THÉÂTRE D’ANGOULÊME-SCÈNE NATIONALE / SALLE CORTOT / OPÉRA DE MASSY – SCÈNE NATIONALE / CHÂTEAU DE LA FONTAINE (45) / EGLISE ST LOUIS EN L’ÎLE – PARIS / DOMAINE DE LA GRANDMAISON – VORLY / GRAND SALON DE L’HÔTEL DE LA COMTESSE DU BARRY – VERSAILLES / SAINT RÉMY-LÈS CHEVREUSE / FESTIVAL DES SOIRÉES ROMANTIQUES DU DOMAINE DU RAYOL PRÈS DE ST TROPEZ (83) / PARAY-LE-MONIAL / FESTIVAL DES NOCTURNES DU CHÂTEAU DE VINS SUR CARAMY (83) / FESTIVAL « LISZT EN PROVENCE » À L’ORANGERIE DU CHÂTEAU ST ESTÈPHE D’UCHAUX (84) / FONDATION CZIFFRA / CHAPELLE ROYALE DE SENLIS (60) / CHÂTEAU DE SACHÉ (EN TOURAINE) / ÉGLISE DE CHATEAU-RENAULT (EN TOURAINE ) /ÉGLISE DE LA TRINITÉ À PARIS / THÉÂTRE ANDRÉ MALRAUX DE RUEIL MALMAISON 92 / GRAND SALON DE LA MAIRIE DU VI° PARIS / MUSÉE MAURICE DENIS À ST-GERMAIN-EN-LAY / THÉÀTRE DE SÈVRES « LE SEL » (CONCERTS MARIVEL) 92 / THÉÂTRE DE L’ASSOMPTION – PARIS / CHÂTEAU DE BOUGES / ÉGLISE ST JEAN BAPTISTE À ST JEAN DE BRAYE / EGLISE NOTRE DAME DE CHATOU / ÉGLISE DU VAL-DE-GRÂCE À PARIS / ÉGLISE SAINT GERVAIS À PARIS / CHATEAU SAINT-ESTÈPHE D’UCHAUX – ORANGE / LA DÉFENSE (CONCERT SONORISÉ) AU GRAND HALL DE LA TOUR « COEUR-DÉFENSE » PARIS / CENTRE CULTUREL DU CHESNAY (78) /
Nombre artistes :
Nombre techniciens :
Durée prestation :
Technique son incluse :
Pays départ :
Ville départ :
Coût / Km (€) :
Instruments utilisés :
Backline nécessaire :