GREGOIRE

Son premier album Toi + Moi comporte 12 titres dont ont été sortis 4 singles (Toi+Moi, Rue des Étoiles, Ta main, Nuages). Avec plus d’un million d’exemplaires écoulés, il devient disque de diamant, et remporte la première place des ventes d’albums en France pour l’année 2009. GREGOIRE rencontre l’équipe du nouveau label communautaire My Major Company et s’inscrit sur le site internet le 20  décembre 2007. Il atteint dès le 15 février 2008 les 70 000 euros alors requis pour la production de son album et devient ainsi le premier artiste produit par le public en France grâce à ses 347 producteurs, dont les contributions s’élèvent de 10 € (mise minimale) à 6 020 €. Son premier single Toi + Moi sort au début de l’été 2008 et la chanson est sélectionnée comme Coup de Cœur de l’Été 2008 par RTL et NRJ la diffuse dès le mois d’août. Le clip, qui a été visionné plus de 12,5 millions de fois sur YouTube (août 2011)5, met en scène GREGOIRE avec une soixantaine de ses producteurs. Toi + Moi est par ailleurs sélectionnée comme chanson d’entrée de la tournée 2009 des Enfoirés font leur cinéma. Le deuxième single Rue des étoiles commence à être diffusé en novembre 2008, suivi de Ta Main, le troisième extrait de l’album dédié à ses deux frères disparus. Le clip, tourné à Bruxelles en mars 2009, met en scène Grégoire avec l’actrice Inès Sastre. Le dernier single issu de l’album Toi + Moi s’intitule Nuages et le clip retrace les moments phares de la tournée de l’artiste dans toute la France. Son second album, Le Même soleil, est sorti le 15 novembre 2010 et le premier single, Danse, est déjà diffusé sur les ondes et disponible sur les plateformes de téléchargement légal. Cet opus, qui est également produit par les internautes de My Major Company, comporte notamment un duo inédit avec Jean-Jacques Goldman. Un titre inédit Lâche a été proposé entre le 1er et le 13 decembre 2010 sur iTunes, puis offert le 3 janvier 2011 dans le cadre de l’opération “12 jours 12 cadeaux”. Souvent catalogué comme chanteur populaire, GREGOIRE revendique sa « banalité » : « Je me suis rendu compte que les gens se retrouvaient dans mes problèmes, mes chagrins d’amour, mon envie de solidarité, mes soirées de déprime…»