Grâce à son humour, PATRICK BOSSO a su séduire beaucoup de spectateurs. Et si son accent marseillais fait son identité et sa renommée il revient charmer son public en se mettant à nu avec un nouveau one-man-show « SANS ACCENT », qui retrace son parcours.
” Oh Bosso, comment on fait pour faire connu comme travail ?!!! ”
C’est un jeune de mon ancienne cité des quartiers nord de Marseille qui m’a posé cette question. J’ai écrit ce spectacle pour lui répondre…
PARCOURS
Originaire de Marseille, Patrick enchaine les petits boulots toute sa jeunesse avant de découvrir sa réelle passion et s’orienter vers une carrière d’humoriste.
C’est à l’âge de 27 ans, en 1989, que PATRICK BOSSO décide de prendre ses premiers cours de théâtre avec Niels Arestrup ; qui l’aidera à se lancer dans le one-man-show où une longue série de succès l’attend.
Quelques années plus tard, en 1991, il monte sur les planches et présente au grand public son premier spectacle « Bosso c’est méchant » ; au théâtre Marie Stuart.
Par la suite PATRICK BOSSO enchainera les scènes avec de nombreux autres one-man-shows à succès ; à Paris et en tournée ; qui lui permettront de se faire connaître et qui feront de lui un artiste reconnu (« Oh ! Bonne mère » en 1992 ; « Et voilà ! » en 1994 ; « Qui ?? Moi !! » en 1995, mise en scène par Alexandre Pesle ; « Les talons devant » en 1997, mise en scène de Jean-Michel Ribes ; « Bosso exagère trop » en 2000, mise en scène de Pierre-François Martin-Laval ; « Le spectacle de ma vie » en 2005 ; « Du bonheur » en 2006/2007, mise en scène de Jean-Marie Gourio ; « La courte échelle » en 2008/2009, mise en scène de Gil Galliot et « K Marseille » en 2012).
Au fil de ces années PATRICK BOSSO s’impose en tant qu’artiste dans le milieu théâtral ; ainsi il jouera dans « Les brèves de comptoir » de Jean-Michel Ribes et dans « Acting » aux côtés de Kad Merad et de son professeur Niels Arestrup.
Oeuvrant sur scène et en tournée, PATRICK BOSSO fait aussi carrière à la télévision ; on le retrouve dans « Le bon samaritain » (téléfilm de Bruno Garcia pour TF1), « Zodiaque » (téléfilm de Claude-Michel Rome pour TF1), « Les trois messes basses » (téléfilm de Jacques Santamaria pour France 2), « L’arche de Babel » (téléfilm de Philippe Carrese pour France 3) ou encore « Hep taxi » pour Canal+.
Ayant réussi à s’imposer comme une référence du théâtre ; il fait ses premiers pas au cinéma en 1998 « Comme une bête », « Les Collègues » en 1999, « Sans arme, ni haine, ni violence » en 2007 de Jean-Paul Rouve, « Bienvenue chez les ch’tis » de Dany Boon en 2008, « Retour chez ma mère » d’Eric Lavaine ou encore « Marseille » de Kad Merad dont il est également co-scénariste.
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