HOMME ORCHESTRE DE RUE

Deux colombes, Coco et Coccinelle, une vingtaine d’instruments, une trentaine de kilos sur le dos, l’ HOMME ORCHESTRE DE RUE porte, comme l’escargot sa maison, sa poésie sur le dos. Un des derniers hommes-orchestres qui se comptent aujourd’hui sur les doigts de la main. Un feu d’artifice fuse de son chapeau et de sa grosse caisse s’envolent des pétales multicolores au milieu de bulles de savon. De la guitare au tambour en passant par l’harmonica, la crécelle, les cymbales, le mirliton, les clochettes et les grelots, l’HOMME ORCHESTRE DE RUE est toujours aussi magique. L’HOMME ORCHESTRE DE RUE entraîne dans son sillage des grappes d’admirateurs. Et son exploit est là et ne trompe pas son public qui se demande comment un homme seul, peut à la fois jouer de la guitare, chanter en s’accompagnant de la basse et de la batterie tout en plaçant des mélodies à la flûte ou à l’harmonica. Un coup d’oeil averti constate très vite que l’artiste sait parfaitement mêler la tradition et la technologie.