CHRISTOPHE MAE

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CHRISTOPHE MAE

Originaire du Vaucluse, CHRISTOPHE MAE commence par faire des apparitions dans les bars du sud de la France. De représentations en galas, il se forge sa propre expérience de la scène et lutte pour percer dans ce milieu. Son père, musicien et amateur de jazz, lui transmet très tôt son goût pour la musique. Dès l’âge de 6 ans, il étudie le violon, la batterie et se consacre au chant. Ancien sportif excellant tant en tennis qu’en ski, Christophe se voit stoppé dans son élan par une maladie chronique qui l’immobilise à 16 ans. CHRISTOPHE MAE profite de cette immobilisation forcée pour apprendre la  guitare acoustique et l’harmonica (notamment lors de stage aux côtés de Jean-Jacques Milteau, harmoniciste d’Eddy Mitchell, Barbara, Vanessa Paradis…) et par la découverte de celui qui deviendra sa source d’inspiration: Stevie Wonder. Influences majeures que rejoignent Bob Marley, Tracy Chapman,  Ben Harper et Jack Johnson. Dès 18 ans, Christophe assure environ 200 concerts par an, dans un style reggae, soul et blues… Christophe s’affirme vraiment sur scène lorsqu’il fait la première partie d’artistes comme Cher, Seal en formation guitare/voix. Le projet du « Roi Soleil » qui lui est ensuite proposé le séduit par sa démarche originale. A l’opposé du chanteur classique de comédie musicale, Christophe est une évidence dans le rôle de « Monsieur ». Sa sensibilité, son humour et sa fantaisie transcendent un public en liesse face à ce personnage follement attachant. Décembre 2006. CHRISTOPHE MAE fait ses adieux à la scène du Palais des Sports de Paris ! Une partie de la belle aventure du « Roi Soleil » s’achève mais Christophe repart sur les routes de France, de Suisse et de Belgique pour la dernière ligne droite de l’aventure du « Roi Soleil », avant de voler de ses propres ailes… 19 Mars 2007. Son premier album en solo frappe où on ne l’attend pas ! Douze titres dans un style de musique soul acoustique aux influences africaines, imprimés d’une signature vocale très particulière et latine en diable. Une voix malléable et profonde, juste dans toutes ses émotions et qui nous fait vibrer, tout simplement.  « Mes chansons racontent des histoires de tous les jours avec des mots simples. Chacun d’entre nous croit les avoir plus ou moins vécues. »  Le blues ensorcelant de « On s’attache », premier single extrait, affiche l’anti-conformisme et l’esprit indépendant de l’artiste. Lorsqu’il chante « Maman », un titre sur l’amour parental vu par un adulte, c’est l’image de notre propre enfance qui remonte à la surface. « Sur presque tous mes titres, je pose des questions ».  Et  Christophe ajoute ça-et-là un peu de folk, de reggae ou de blues et offre un premier opus ouvert aux possibilités musicales. L’aventure en solitaire lui tend les bras. « Je cherche à me retrouver, à retrouver mes racines. Dans la vie, il faut toujours savoir qui on est, d’où on vient… Comme dit l’adage : si tu ne sais où tu pars, regardes d’où tu viens. On peut ainsi mieux vivre. » Harmonieusement mis en sons par Volodia (NTM, Obispo, Amel Bent) dans les studios Apollo de Suresnes, son album compte la prestigieuse participation des musiciens de Ayo ou Teri Moise. « Je l’ai moi-même en grande partie écrit et composé tout en collaborant avec Lionel Florence pour quelques textes et Bruno Dandrimont, mon ami de toujours, à la composition… » C’est sur sa guitare fétiche que la plupart des morceaux ont vu le jour, ces dernières années… Populaire, Christophe l’est indéniablement, grâce à sa sincérité, son franc jeu enthousiaste et une personnalité d’écorché vif. Il n’y a qu’à regarder son visage quand il joue de la guitare ou de l’harmonica et quand il chante… Il séduit et conquis sur le poignant « Spleen », il nous fait l’inventaire de ses amours présents et passés sur « Belle Demoiselle », il rayonne sur le chaloupé « C’est Ma Terre », il nous fait prendre le goût du large sur « Mon Paradis » qui donne son titre à l’album… Lucides, complices et pleines de compassion, ses chansons sont autant de bouteilles jetées à la mer… qu’il brisera bientôt dans des salles de concert, au plus proche de son public. Constamment entre deux rives émotionnelles et stylistiques, Christophe est enfant de bohème. Il n’a jamais, jamais connu de lois. Après avoir vendu plus de 1,5 millions de son premier album « Mon Paradis », rassemblé prés de 1 million de spectateurs lors de sa tournée triomphale, été primé d’une Victoire de la Musique en 2008 , CHRISTOPHE MAE présente  son premier album acoustique enregistré en public. Dans « Comme à la maison », CHRISTOPHE MAE nous revisite ses tubes dans de nouvelles versions, plus acoustiques et intimistes. On y retrouve également  dont 3  inédits : « Sa danse donne », « Mon p’tit Gars » et « Moi, J’ai pas le sou » en duo avec William Baldé, pour des prestations accompagnées tour à tour d’un quatuor de cordes, d’une chorale gospel, et d’un accordéoniste hors pair  Régis Gizavo, qui a joué avec Manu Dibango, Mano Solo, Cesaria Evora… Capté en haute définition, ce concert exceptionnel sort en plusieurs éditions CD et DVD et s’est écoulé à plus de 600 000 exemplaires. CHRISTOPHE MAE est récompensé aux NRJ Musique Awards 2009 par le prix de l’Artiste masculin de l’année et son titre « Belle demoiselle » est élu chanson de l’année. Il est nommé 3 fois aux Victoires de la musique 2009 dans les catégories « Artiste Interprète Masculin de l’année », le « spectacle musical, la tournée ou le concert de l’année », et le « DVD Musical de l’année ». CHRISTOPHE MAE est également choisi par Johnny Hallyday pour assurer la première partie de sa tournée des stades pour l’été 2009. En accord avec Camus Prod

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France – FR

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Paris

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0,3

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