OKUN – JAZZ AFRO-CUBAIN

Une fusion singulière servie par une équipe franco-cubaine survoltée.

OKUN signifie « corde » en Yoruba, la langue pratiquée dans la Santería, la religion Afro-Cubaine. La « corde » qui relie les choses ; celles de la guitare jazz du coloriste parisien Aurélien Bouly et de la batterie innovante de Lester Alonso Vasquez. Une fusion singulière servie par une équipe franco-cubaine survoltée.

La « corde » qui relie les hommes au divin.

La « corde » qui relie le jazz et les rythmes cubains est ici un fil d’histoires fantasmées

La « corde » qui ressert deux arts l’un vers l’autre, la musique et la peinture.

De 5 à 8 musiciens + concept scénique avec projections de décors picturaux et d’ambiance dans les différentes périodes du concert.

OKUN – JAZZ AFRO-CUBAIN

Jazz Afro-Cubain

OKUN  signifie « corde » en Yoruba, la langue pratiquée dans la Santería, la religion Afro-Cubaine. La « corde » qui relie les choses ; celles de la guitare jazz du parisien coloriste Aurélien Bouly qui relient la batterie innovante de Lester Alonso Vasquez. Une fusion singulière servie par une équipe franco-cubaine survoltée.

La « corde » qui relie les hommes au divin ; plongée mystique dans les rythmes sacrés des tambours batá qui appellent les Orichas, divinités afro-cubaines.

La « corde » qui relie le jazz et les rythmes cubains est ici un fil d’histoires fantasmées : Django Reinhardt en plein milieu d’un carnaval à Santiago, Horace Silver dirigeant une Charanga, Wes Montgomery guitariste d’un conjuto de Mambo jouant jusqu’au matin dans un casino de la Havane… Les quais de Seine ont une couleur de Malecon, Paris s’embrase, s’enivre, mais surtout improvise…

La « corde » qui ressert deux arts l’un vers l’autre, la musique et la peinture.

De 5 à 8 musiciens + concept scénique avec projections.

  • Quintet :

Aurelien Bouly Guitare, Arrangements
Lester « El Camaleon » Alonso Vazquez Batterie, Chant
Jean-Luc Pagni Basse
Francisco « Pancho » Gonzales Amador Congas, Tambores Batà
Stéphane Morin Guitare acoustique, Guitare 12 cordes, Tres

  • Sextet (avec chant)

Aurelien Bouly Guitare, Arrangements
Lester « El Camaleon » Alonso Vazquez Batterie, Chant
Jean-Luc Pagni Basse
Francisco « Pancho » Gonzales Amador Congas, Tambores Batà
Stéphane Morin Guitare acoustique, Guitare 12 cordes, Tres
Anais Ramos Chant

  • Octet (avec chant + cuivres)

Aurelien Bouly Guitare, Arrangements
Lester « El Camaleon » Alonso Vazquez Batterie, Chant, Percussions
Jean-Luc Pagni Basse, Flûte traversière, Orchestration cuivres
Francisco « Pancho » Gonzales Amador Congas, Tambores Batà
Stéphane Morin Guitare acoustique, Guitare 12 cordes, Tres
Anais Ramos Chant
Hippolyte Fèvre Trompette, Flûte traversière
Matthieu Vernhes Saxophone

OKUN propose avant tout un concert jazz afro-cubain. Lorsque cela est possible, des projections de peintures d’Aurélien Bouly pourront servir de décors et d’ambiance dans les différentes périodes du concert.

Deux possibilités :

  • Projection unique en fond de scène
  • Projections de triptyques sur un écran fond de scène + deux rappels à cours et jardin.

EXTRAITS AUDIO



OKUN – BIO ARTISTES

Aurélien Bouly – Guitariste, compositeur et arrangeur

Né en 1978 dans en banlieue Parisienne. La musique de Django Reinhardt et le Jazz en général sont le point de départ de son apprentissage musical précoce transmis par son père, mais n’est évidemment pas sa seule source d’inspiration. Élève de Pierre Cullaz, Serges Krief, la musique de Stevie Wonder, Michael Jackson, le funk sont des passions parallèles à cette pression culturelle exercée sur un jeu encore infantile. Plus tard, son éclectisme révèle une véritable originalité dans son jeu.

George Benson, Pat Martino ou Luis Salinas ont nuancé le style d’Aurélien tout au long de son apprentissage, mais aussi Charlie Parker, John Coltrane, Dizzy Milles… Il devient musicien professionnel en 1995 et écume alors les café-concert et les clubs parisiens très en vogue de la rue Oberkampf à cette époque tout en collaborant avec les artistes Angelo Debare (FR), Gary Potter (UK, ARG), Gustav Lundgren (SU), Guy Marchand (FR), Fred Manoukian (FR), Giacomo Smith (USA) , Sid Gauld (UK).

C’est en 2010 qu’il rencontre le batteur percussionniste Lester « El Camaleon » Alonso Vazquez. Passionné depuis l’enfance par le Latin Jazz, il opère naturellement une fusion avec la musique de Django Reinhardt, tout en apprenant les codes des rythmes Afro Cubains qu’il intègre à son jeu de guitare. Deux LP et un EP plus tard, parallèlement à d’autres projets, Okun nait en 2021.

Lester « El Camaleon » Alonso Vazquez – Batteur, percussionniste et chanteur

Musicien d’origine cubaine né à la Havane. A l’âge de 6 ans il est déjà soliste dans des groupes de rumba à la Havane puis à 12 ans, il intègre l’école (Forjadores del futuro) avec le Maître Angel du groupe (Los Sauces). Il joue ensuite avec des groupes à travers toute l’île.

Dès son arrivée en France, il commence à jouer avec des musiciens de Jazz, de Salsa, Rumba, Funk, Flamenco entre Lyon et Clermont Ferrand, mais aussi à travers toute l’Europe. Il collabore étroitement (tournées, concerts) avec Aurélien Bouly et Stéphane Morin depuis 2010 .

Francisco « Pancho » Gonzales Amador  – Percussionniste et chanteur

Né à La Havane, c’est par la trompette que Pancho, enfant, démarre son apprentissage musical. Mais c’est adolescent, dans les rues de La Havane, qu’il découvre les percussions afro- cubaines : Congo, Yoruba, Abakuá et surtout la Rumba. C’est à Callejon de Hamel, grand spot des Rumberos, endroit enchanté, transfiguré par l’art, le syncrétisme cubain, qu’il apprend, murit et nuance son art. De plus en plus demandé, pour ses qualités de percussionniste, il intègre avec Coki Sarria Linares, le célèbre groupe « Clave Y Guaguanco » fondé à La Havane il y a plus de 50 ans et qui se consacre à la musique traditionnelle afro-cubaine… Il découvre la France en 2003 lors d’une tournée à Paris et à Bordeaux. Plusieurs années plus tard, il décide de s’y installer.

Jean-Luc Pagni – Chef d’orchestre, arrangeur, directeur musical

Jean-Luc Pagni est de toutes les belles aventures artistiques. Après 15 ans dans la compagnie de Jérôme Savary et un parcours jonché de créations remarquables et remarquées (« La résistible ascension d’Arturo Hui », « La veuve joyeuse », « Le retour du grand Magic Circus », « Mistinguette », « La vie Parisienne »…), il participe à de nombreux spectacles et projets (« Piaf je t’aime », « Fame » , « Tribute Phil Collins/Lenny Kravitz », « Roméo et Juliette », « Paris-Broadway », « Irma la douce », etc.)

Il a accompagné des artistes tels que Fabienne Thibault, Sylvie Joly, Shirley et Dino, et le légendaire Marcel Azzola...
Sans parler des collaborations avec Nicolas Briançon, la référence suprême au théâtre. Multi-instrumentiste, Jean-Luc Pagni a toujours joué le jazz, en particulier les jazz New-Orléans et Swing (Marc Lafferrière, J-Paul Papaz, Daniel Huck…) et la salsa (Ernesto Tito Puentes, Perco BB, Mambo Legacy…).

Il continue en parallèle au théâtre ses propres créations (La Bomba, Swing it orient project, Magic Day Orchestra, Prestige Brass Band…) et notamment “La Bomba”, orchestre mambo de 17 musiciens commandé à l’origine par le festival Tempo Latino (Vic-Fezansac). Il est également le bassiste du tout nouveau projet de Renaud Louis-Servais « 50 Plugged Guitares ».

Anais Ramos – Chanteuse

C’est à la Havane, son île natale, qu’Anais trouve la source de sa passion musicale, bercée au rythme des boléros que lui chantait sa grand-mère . À 16 ans, elle débute sa carrière au côté de grands noms tels qu’Odelkis Reve, El Cabo ou encore Chamiso, une ascension qui se poursuivra à Cuba avec l’orchestre d’Arnaldo y su Talisman puis celui de l’équipe du spectacle Havana Night, où la jeune artiste met à profit ses talents de danseuse.

Arrivée à Paris à 22 ans, Anais fait la rencontre de son compatriote Yosvani Quiros, avec lequel elle collabore dans la célèbre formation Fiesta Cubana. On la retrouve aussi sur les grandes scènes parisiennes comme le Backup ou le New Morning, et auprès d’autres artistes d’univers très différents qui invitent cette chanteuse à la sensibilité à fleur de peau.

De sa collaboration avec Laurent Hounsavi, Anais retissera le lien entre la Caraïbe et l’Afrique, et se produira à Hong Kong en 2011. En 2013 elle partage la scène avec le légendaire trompettiste et arrangeur cubain Ernesto «Tito» Puentes. Depuis 2010 elle chante avec le groupe Tempo Forte, l’une des meilleures formations afro-cubaine de l’Hexagone, avec qui elle aura l’occasion de jouer dans de nombreux festivals (Wolfi Jazz en Alsace où elle a pu partager la scène avec Marcus Miller et Al Jarreau, le Rhino Jazz, Jazz à Montauban, le festival de Big Band de Pertuis en Provence, le festival Solidays, festival de Jazz de Montreux). Elle collabore avec la chanteuse de renommée internationale Oum pour la sortie de son album au Café de la Danse. Récemment, elle prête sa voix dans L’Opéra Afro-Jazz Dipenda pièce de théâtre d’Aimé Césaire. Sa voix chaude et envoûtante nous transporte entre Timba et Soul.

Stéphane Morin – Guitariste et bassiste

Depuis son adolescence, son apprentissage de la guitare est influencé par des styles différents, du funk au jazz-rock en passant par la salsa, à la guitare aussi bien qu’à la basse, mais c’est par hasard qu’il assiste en 1998 à un concert d‘Angélo Debarre à l’Hôtel du Nord. C’est une révélation : enfin un guitariste qui le transporte autant que ses idoles Wes Montgomery, Jimi Hendrix ou encore Charlie Parker.

Il commence dès lors à s’intéresser au jeu des musiciens les plus représentatifs du style tels que Tchavolo Schmitt, Stochélo Rosenberg ou encore Moréno Winterstein qui lui enseigne les bases de l’accompagnement (la “pompe”) du Jazz Manouche. C’est en 2009 qu’il commence à intégrer les formations d’Aurélien Bouly qui trouve en lui la partie d’un binôme idéal. C’est tout naturellement qu’il suit également Aurélien dans ses aventures Latin Jazz et Afro Cubaines tantôt au tres cubain, tantôt à la guitare.

Matthieu Vernhes – Saxophoniste

Originaire de la région Parisienne, Matthieu est bercé depuis l’enfance par le jazz et grandit en entendant son père musicien jouer du saxophone et de l’accordéon. Il étudie le saxophone et le Jazz au conservatoire du 10ème arrondissement de Paris ainsi qu’au conservatoire de Noisiel (77), dont il sort diplômé de la classe de saxophone Jazz en 2015.

Après avoir travaillé le saxophone ténor, il décide de pratiquer l’ensemble des saxophones, ainsi que la clarinette. En parallèle à ses études au conservatoire, il joue professionnellement dans divers orchestres de jazz et de variété comme le Big Band de la Huchette, Manu Dibango, le Paris Swing Orchestra, le Duke Orchestra de Laurent Mignard, le Vintage Orchestra, l’Orchestre du Splendid. Il joue également avec des groupes de Reggae, de Funk, d’Electro, ainsi que le jazz New Orleans à la clarinette. Matthieu rencontre Aurélien Bouly en 2019 grâce à Jean-Luc Pagni qui les réunit pour jouer en trio Jazz, et c’est avec enthousiasme qu’il fait aujourd’hui partie de OKUN.

Hippolyte Fèvre – Trompette et Flûte

Né en 1990 à Blois, il entre au conservatoire de sa ville natale à l’âge de 7 ans où lui est enseigné la flûte traversière et le piano. à 16 ans il intègre le conservatoire de Tours. Il en sort diplômé en classe d’instrument et de composition classique en 2011 tandis qu’il continue de travailler son nouvel instrument, la trompette. En 2012 Hippolyte est admis au conservatoire du 9ème arrondissement de Paris en classe de Jazz avec notamment Fabien Mary et Luigi Grasso comme professeurs . Il termine ce cursus en 2015 et intègre le Pôle supérieur d’Aubervilliers où il approfondit sa technique de flûte avec Magic Malik.

En parallèle de ses études, Hippolyte débute sa vie professionnelle sur scène. Il accompagne de nombreux artistes tels que Wynton Marsalis, Ibrahim Maalouf, Delfayo Marsalis, La rue ketanou . Il est également appelé pour jouer la 1ère trompette dans les big band de jazz ou dans les orchestres cubains. A partir de 2015 Hippolyte commence à voyager à New York puis en Nouvelle-Orléans où il s’y rend chaque année depuis. Il y apprend la tradition du jazz et le chant mais aussi la musique des Brass bands. Après un retour de voyage en 2016, il monte à Paris le NOLA French Connection, un groupe dans la veine des brass band néo-orléanais. Le groupe est très vite remarqué et signe pour un album en 2018. L’an suivant Hippolyte lance son deuxième projet, le Pigalle Jazz Band dans lequel il chante en plus de jouer la trompette.


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France – FR

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Paris

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0.3

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